Le spectacle Têtetenlair et maman lampadaire aura lieu le 30 mars. (DR)

Têtenlair et maman lampadaire, c’est l’histoire d’un enfant et de sa mère, représentée par un lampadaire. Ils vivent ensemble depuis toujours, mais la mère « veut lui montrer qu’il y a un monde adulte dehors. Il lui répond par de la poésie enfantine », explique Jérôme Revel.

Le spectacle sera joué à Alizay (Eure), à la médiathèque Andrée-Chedid, le samedi 30 mars.

Une maman au caractère dur

Le texte est chargé de poésie, de jeux de mots, d’une sorte de poésie sonore », ajoute celui qui joue le rôle de l’enfant dans le spectacle.

La mise en scène manie un peu la technique, avec notamment des jeux de lumière, qui font écho à la poésie du petit garçon, avec ses univers différents, dont « un univers marin et un autre plus léger avec des bulles par exemple ».

Sa mère, qui s’exprime par le biais d’une voix off, est, elle, « dure, autoritaire, elle n’écoute pas son enfant ». Il lui survient un moment de faiblesse, symbolisé par l’éclairage décroissant du lampadaire. « L’enfant veut changer d’ampoule pour changer son caractère. »

Une évolution qui ne change pas le message que veut faire passer in fine sa mère.

Tu dois me quitter pour rentrer dans ce monde », dit-elle.

Jérôme Revel explique qu’il aime bien passer un instant avec le public après ses spectacles, ce qui tombe bien, puisque c’est la pratique habituelle de la médiathèque d’Alizay. Il explique notamment que certains parents « n’en ressortent pas indemnes » car le personnage du lampadaire, dans le spectacle, fait réfléchir sur l’éducation que l’on donne à ses enfants.

Il indique même avoir joué devant des instituteurs, dont des professionnels d’instituts d’éducation motrice, et que cette réflexion peut s’entendre à l’ensemble de l’éducation.

Car la pièce fait réfléchir sur la manière dont il est possible d’amener des enfants à s’ouvrir sur le monde.

Samedi 30 mars, à la médiathèque Andrée-Chedid d’Alizay, spectacle pour jeune public Têtenlair et maman lampadaire. Renseignements au 02 35 23 94 08.

Younesse entouré de sa famille. (©B.N., La Gazette du Val-d’Oise)

2 203 € : c’est le montant récolté lors du marché de Noël tenu par les collégiens et lycéens de Saint-Martin-de-France, à Pontoise (Val-d’Oise), au profit de Younesse, le grand frère d’un élève de l’établissement.

Atteint d’une déficience congénitale psychique, motrice et sensorielle, ce jeune habitant de Jouy-le-Moutier de 20 ans a besoin de soins spécifiques pour lui permettre de stimuler et de fortifier ses muscles.

Des soins coûteux

Ceux-ci n’étant pas encore prodigués en France, la famille Abrame effectue depuis 2008 des allers-retours en Floride deux à trois fois par an pour bénéficier d’un traitement biofeedback.

« Il se sent mieux dans son corps, il n’a plus de déformations et il progresse énormément. Il a pris du poids, a grandi, fait des pas et a presque trouvé l’équilibre », observe Zaina, sa maman.

En 2006, l’association Ensemble pour Younesse a été créée afin d’aider ses parents dans leur combat pour améliorer le quotidien de leur fils.

Car, si la technique thérapeutique biofeedback a déjà eu des effets bénéfiques sur l’état de Younesse, celle-ci, ainsi que les déplacements pour se rendre dans l’hôpital spécialisé dans les paralysies cérébrales que la famille a trouvé à Miami, sont très onéreux.

Prochain rendez-vous le 6 avril

Tout au long de l’année, Ensemble pour Younesse se mobilise lors de marchés, d’événements ou encore de ventes spéciales pour collecter des fonds et faire connaître la situation de Younesse.

Le samedi 6 avril 2019 , une vente d’objets neufs donnés par le centre commercial Leclerc d’Achères est organisée à la salle des Merisiers de Jouy-le-Moutier au profit de l’association.

B.N.

Facebook : Association : Ensemble pour Younesse

A Kerfeunteun, des tags sont visibles dans de nombreuses rues du quartier. (©Côté Quimper)

Il y a les tags que l’on peut regarder comme des œuvres d’art, et ceux qui n’ont que très peu d’intérêt. Surtout pour les propriétaires d’habitations détériorées par des inscriptions peu artistiques. 

A Quimper, les tags semblent de plus en plus nombreux. Comme à Kerfeunteun. « C’est vrai qu’il y en a beaucoup, la population est relativement excédée », convient Christian Le Bihan, adjoint chargé du quartier. 

Lire aussi : Chasse aux tags à Quimper : le service est gratuit

Deux signatures reviennent fréquemment. « Mais il faudrait les prendre sur le fait, en flagrant délit, et ils ne sont sans doute pas seuls quand ils font leurs tags. »

Une machine en panne

« J’explique aux personnes les démarches pour les enlever, parfois je leur envoie des photos. Cela occupe une grande partie de mon temps. Nous avons une belle ville, ce n’est pas une raison pour abîmer les murs », s’énerve Yves Gentric, conseiller municipal délégué à la gestion des espaces publics et les droits de place. 

Et de prévenir : 

Le jour où l’on en coincera un, il paiera pour les autres. 

Yves Gentric souligne que la machine permettant de nettoyer les tags en projetant du sable était récemment en panne. « Il y a donc eu du retard, la mairie travaille pour les effacer mais nous avons tellement de demandes… Une deuxième machine sera bientôt disponible. Il faut aussi savoir qu’enlever un tag prend du temps. Il y a environ un mois, il a fallu presque une journée pour en enlever un à proximité du plateau de la déesse. »

Tanguy Toupet habite près de Saint-Saëns. Lundi 25 mars 2019, il a prticipé à Caen, à la finale des Trophées internationaux des calvados Nouvelle Vogue. (©Tanguy Toupet)

Tanguy Toupet, habitant de Bosc-Mesnil, près de Saint-Saëns (Seine-Maritime) a participé au Concours international de création de cocktails à base de Calvados lundi 25 mars 2019 à Caen (Calvados).

Pour cet ancien élève du lycée hôtelier de Mesnières-en-Bray, le résultat n’est malheureusement pas à la hauteur de ce qu’il espérait. Il rêvait d’une première place. Il finit 6e sur 20 :

J’ai commis quelques erreurs techniques ».

C’est le temps qui lui a fait défaut. Trois minutes supplémentaires qui ont coûté six points.

Sur le thème, Créez le cocktail de paix, il a présenté le D-Day, le cocktail à base de calvados, bière,  jus de pomme, jus de citron et sirop de rose, qui lui avait permis de se qualifier pour la finale.  

Lire aussi : De Mesnières-en-Bray à Dinard : Tanguy Toupet, qualifié pour la finale mondiale d’un concours de cocktails

Au cours de cette journée à Caen, les candidats de 14 pays ont pu se défier sur la scène Barman.

« C’est la première fois que je participais à un concours aussi important », confie Tanguy Toupet, aujourd’hui scolarisé au lycée hôtelier de Dinard pour obtenir la mention complémentaire barman. Il projette d’y participer à nouveau, cette fois en qualité de professionnel.

Benjamin Griveaux (d) et Mounir Mahjoubi à l’issue d’une réunion à l’Elysee, le 25 octobre 2017. (©AFP/Archives/Patrick KOVARIK)

Le remaniement est en marche. L’Elysée a annoncé ce mercredi 27 mars 2019, les départs de la ministre des Affaires européennes Nathalie Loiseau, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux et le secrétaire d’Etat au Numérique Mounir Mahjoubi. 

La première, tête de liste LREM aux élections européennes, va se consacrer entièrement à la campagne. 

Lire aussi : Européennes 2019 : Nathalie Loiseau quitte le gouvernement pour lancer la liste LREM

Les deux autres font partie des candidats potentiels du parti présidentiel à la mairie de Paris.

Ému et fier d’avoir pu m’engager au service des Français pendant ces 645 jours. Merci @EmmanuelMacron et @EPhilippePM pour leur confiance, merci à mes collègues dont j’ai défendu l’action à chaque instant. Merci à tous les Français que j’ai rencontrés et qui m’ont tant appris.

— Benjamin Griveaux (@BGriveaux) March 27, 2019

Cathy Kozak a gagné un casting lancé par Blancheporte. Le lot : une journée à se faire chouchouter et à poser pour l’objectif. (©Blancheporte)

Cathy Kozak, 53 ans, est la seule Nordiste à avoir remporté le concours de Blancheporte, cette année. Vendredi 22 mars 2019, elle a été mannequin d’un jour, sous le feu des projecteurs. Elle nous a raconté sa « journée de rêve ».

Parenthèse magique

Quelques jours après l’événement, Cathy est encore sur son petit nuage. « Je suis encore hypereuphorique, je ne redescends pas », confie-t-elle, avec sourire. Elle nous raconte le déroulé de cette journée, pendant laquelle elle a été chouchoutée, avec huit autres lauréates nationales.

Ça été une journée géniale ! Le matin, nous avons commencé très tôt. Après un briefing avec l’équipe, nous avons chacune eu une dizaine de toilettes, parmi lesquelles nous devions en sélectionner trois. Nous avons ensuite enchaîné avec trois shootings photo chacune. 

Séance de maquillage, de coiffure et interviews avec des médias locaux ont complété ce vendredi, parenthèse unique dans la vie de cette professeure d’histoire-géo dans un collège de la métropole lilloise.

On était vraiment aux petits soins avec nous. Je remercie l’équipe de Blancheporte pour ce moment ! 

« Une bienveillance générale »

Au milieu des autres lauréates, avec lesquelles elle a sympathisé dès la veille du shooting au restaurant, Cathy a profité à fond de l’expérience. Une occasion aussi de faire connaissance avec des femmes très différentes, aux quotidiens et passions variées.

C’était très amusant, on était toutes détendues. Même les plus timides ! Il y avait une ambiance chaleureuse, et une bienveillance générale de la part de l’équipe qui nous a mises à l’aise. 

Un seul regret se profile pour Cathy : elle ne pourra pas revivre l’expérience. « Mais je vais dire à toutes mes copines de le faire ! » Le message que la quinqua délivre, avec beaucoup d’entrain :

A plus de 50 ans, on a encore plein de dynamisme et l’envie de faire des choses !

Ses camarades de l’expérience, « superconnectées » qui ont pour certaines profité de l’occasion pour passer le week-end à Lille, ne diront sans doute pas le contraire…

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Un homme de 26 ans a été condamné à cinq ans de prison ferme pour le vol de plusieurs téléphones et vélos à Toulouse.

Il était déjà incarcéré pour vol. Puis les enquêteurs ont fait le lien avec lui dans d’autres affaires similaires. Lundi 25 mars 2019, un homme est extrait de la prison de Seysses (Haute-Garonne) pour être entendu dans de nouvelles affaires.

Impliqué dans six autres affaires

Alors qu’ils travaillaient sur des faits de vols, les policiers de la Brigade criminelle et de répression des atteintes aux personnes (BCRAP) remontent jusqu’à ce même individu, âgé de 26 ans. Il est accusé d’avoir volé des vélos et des téléphones portables à six personnes. Les faits, commis avec violence, se sont déroulés entre octobre 2018 et le début d’année 2019 sur le secteur de la Roseraie et de la cité de l’Hers.

Placé en garde à vue, l’homme a nié les faits. Jugé en comparution immédiate mercredi 27 mars 2019, il a été condamné à cinq ans de prison ferme et cinq ans d’interdiction du territoire français.

Louis-Elzéar de Sabran Pontevès, avec son épouse, Caroline, et leurs trois enfants. La famille a aménagé dans le château de Cazeneuve, à Préchac (Gironde), en 2014. (©Le Républicain)

La vie de château, vous en rêvez ? Pour la famille de Louis, c’est une réalité. Avec ses trois enfants et son épouse, il a posé ses cartons au château royal de Cazeneuve, à Préchac (Gironde).

Chauffage, changement des fenêtres… Les propriétaires du château nous racontent leur quotidien, rythmé par les visites de touristes.

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La Une du Républicain Sud-Gironde (©Le Républicain)

Chaque année, le château royal de Cazeneuve accueille près de 60.000 visiteurs.

Pour les trois enfants, c’est un immense terrain de jeu, comme l’explique leur papa :

Pour les enfants, il y a quelques interdits : les pièces fermées à clef et le grenier. Sinon, ils se baladent partout. Ils peuvent aller à la grotte de la reine ou à la bambouseraie

Un nouveau resto bio à Langon

A Langon, Le Républicain s’est intéressé au nouveau restaurant bio qui va ouvrir, dans les prochains jours, rue Maubec.

La patronne, Estelle, raconte :

Je proposerai le matin le petit-déjeuner, à midi le déjeuner et l’après-midi un salon de thé, des dîner boxes le vendredi et le samedi soir

Un parcours du combattant à 18 mètres de hauteur

Yannick Pecout, le patron de Hostens Aventure. (©Le Républicain)

Egalement à la Une du Républicain Sud-Gironde : un focus sur le nouveau parcours dans les arbres, créé à Hostens. 

Le parc acrobatique dans les pins Hostens Aventure rouvre ses portes le samedi 13 avril et propose un nouveau parcours très sportif… à 18 mètres de hauteur.

Tyrolienne, filets, pont de singe… Le maître des lieux, Yannick Pecout, signe un véritable parcours du combattant.

L’épaisse fumée était visible depuis la zone commerciale. (©Voix du Jura/Monique Henriet)

Ce mercredi 27 mars 2019, un premier feu de végétation de plus de 20 hectares difficilement accessible en surplomb de la zone du plan d’acier à Saint-Claude a été signalé aux sapeurs-pompiers aux abords de la ligne ferroviaire, où une opération de nettoyage était en cours. 

Rapidement confrontés aux problèmes d’accessibilité et aux bourrasques de vent qui attisaient le foyer, des sapeurs-pompiers ont été appelés en renfort de Lons-le-Saunier,  Champagnole et Longchaumois alors qu’un périmètre de 40 hectares était menacé. 

Le feu s’est déclaré au-dessus de la zone du plan d’acier sous Avignon-les-Saint-Claude (©Voix du jura/Monique Henriet)

Vers 18 h 30, le sinistre était maîtrisé, mais les sapeurs-pompiers ainsi que les gendarmes restaient en alerte. 

4 hectares à Lect

Pendant ce temps à 15 h, un autre feu de végétation était signalé sur la commune de Lect près d’une ligne électrique à flanc de falaise dans une zone peu accessible sur environ 4 hectares. 

Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour maîtriser le feu en début de soirée. 

Du 1er au 5 avril 2019 à Bénouville, l’enrobé de l’avenue du commandant Kieffer est refait, ce qui nécessite sa fermeture à la circulation. (©Arnaud Héroult/Liberté Le Bonhomme Libre.)

Au nord-ouest de Caen (Calvados), en raison de travaux, la circulation est fortement perturbée de part et d’autre de l’Orne. Du 27 mars 2019 au 1er avril 2019, à Bénouville et sur l’axe Amfreville-Ranville, plusieurs routes sont fermées.

Pegasus fermé, traversée impossible

« La traversée de Bénouville, la D514 entre le giratoire de la mairie et le pont Pegasus, sera interdite à la circulation du lundi 1er avril au vendredi 5 avril 2019 inclus », informe la mairie de Bénouville. Durant cette semaine, l’enrobé de l’avenue Kieffer sera refait, ce qui nécessite sa fermeture.

Lire aussi : À Bénouville, l’avenue qui mène au pont est réaménagée : quatre mois de travaux à venir

Depuis le 3 décembre 2018, des travaux sont entrepris pour réaménager complètement l’avenue Kieffer qui mène au pont. Par jour en moyenne, 17 000 véhiculent empruntent cette route. La fin des travaux dans ce secteur devrait intervenir fin avril ou début mai 2019.

Pegasus accessible aux piétons et cyclistes

Si, du 1er au 5 avril, le pont de Pegasus est fermé aux véhicules, les piétons et cyclistes pourront en revanche l’emprunter.

Amfreville : 2 jours de fermeture

Le Département du Calvados informe : « que dans le cadre des travaux d’aménagement du hameau de l’Ecarde à Amfreville, la RD 514 est totalement fermée dans les deux sens de circulation, de 7 h 30 à 17 h30, à compter du mercredi 27 mars et jusqu’à vendredi 29 mars. Une déviation générale entre Ranville-Varaville est mise en place dans les deux sens par la RD37 et la RD223. Une seconde déviation, locale, entre Ranville-Sallenelles est installée dans les deux sens par la RD37, la RD223 puis la RD37B. Il est à noter que la route sera rouverte aux automobilistes dans les deux sens de circulation à partir de 17 h 30 ainsi que ce week-end. »

Lire aussi : Près de Caen, une route fermée durant deux mois

Depuis le 18 mars et pendant 2 mois des travaux sont menés sur cet axe reliant Merville-Franceville à Ranville, traversé quotidiennement par près de 10 000 véhicules.

Ranville : la rue de la mairie fermée

À Ranville, la rue des Airbornes (rue de la mairie) est en cours de travaux et interdite à la circulation. Le marché a été attribué à l’entreprise Collet pour 152 000 €. « Les travaux seront finis le 15 mai » a précisé en conseil municipal le maire Jean-Luc Adélaïde.

Les Lyonnaises se congratulent après le but de Dzsenifer Marozsan, à Wolfsbourg, le 27 mars 2019. (©AFP/Ronny Hartmann)

L’aventure continue ! Vainqueurs des trois dernières Ligues des champions, les Lyonnaises se sont qualifiées sans vraiment trembler pour les demi-finales mercredi en allant s’imposer 4-2 à Wolfsburg, (aller 2-1).

Lire aussi : Ligue des champions : petite victoire des Lyonnaises face à Wolfsbourg

Le scénario de la rencontre entre les deux finalistes de la saison dernière a ressemblé comme un jumeau à celui du match aller: une entame parfaite de l’OL récompensée par deux buts (Marozsan et Renard), puis une baisse de régime en deuxième période, qui a permis cette fois aux Allemandes d’égaliser à 2-2 (doublé de Harder) avant que Le Sommer ne réussisse à son tour un doublé.

Mission impossible pour Wolfsburg 

L’internationale allemande de Lyon Dzsenifer Marozsan a marqué dès la 8e minute, d’un coup franc direct totalement excentré sur la droite, profitant d’un mauvais placement de la gardienne Almuth Schult qui s’attendait à un centre.

Puis la capitaine Wendy Renard a doublé la mise quelques minutes plus tard, sur pénalty (25e), après le fauchage dans la surface d’Ada Hegerberg, la Norvégienne lauréate en février du tout premier « Ballon d’Or » de l’histoire du football féminin.

Wolfsburg n’était pas encore entré dans son match et se voyait déjà dans l’obligation de marquer quatre fois pour arracher une qualification ! La mission semblait impossible.

Relâchement coupable

« C’était important d’identifier les erreurs commises lors du match aller », avait noté avant la partie le coach lyonnais Reynald Pedros. Le technicien n’avait guère apprécié le relâchement coupable de la deuxième période, qui avait permis à Wolfsburg de marquer un précieux but à l’extérieur.

Mais ses protégées sont retombées exactement dans le même travers, et les « Louves » ont su en profiter.

Pernille Harder, la Danoise qui rêve elle aussi du Ballon d’or, a frappé deux fois en moins de trois minutes (53e et 56e). Deux buts similaires : centre de la gauche et reprise du plat du pied entre deux défenseures lyonnaises.

C’est finalement Eugénie Le Sommer qui s’est chargée de tuer les rêves de « remontada » des Allemandes en reprenant victorieusement de la tête un centre d’Amandine Henry quatre minutes plus tard (3-2, 60e). Son deuxième but, à la reprise d’un centre de Delphine Cascarino (4-2, 80e), n’a fait que confirmer la supériorité d’une équipe qui peut espérer prolonger cette saison encore son règne sur l’Europe.

Les deux équipes s’étaient déjà rencontrées trois fois en finale de la compétition reine (victoire de Wolfsburg en 2013, de Lyon en 2016 et 2018) et une fois en quart-de-finale en 2017: Lyon s’était qualifié à l’époque, avant de soulever ensuite le trophée en fin de saison.

Source : © 2019 AFP

La Musique de Randonnai fête ses 130 ans.

Dimanche 31 mars 2019, à l’église de Randonnai (Orne, commune nouvelle de Tourouvre-au-Perche), aura lieu le concert de Printemps de la Musique de Randonnai.

L’harmonie recevra en première partie le quatuor Honegger Brass Quartet. Composé d’une trompette, un cor, un trombone et un tuba, cet ensemble de cuivre propose un éventail musical mêlant humour et sensibilité.

En seconde partie, l’orchestre d’harmonie de Randonnai interprétera une petite touche de renaissance, de musique folklorique sarde avec Corylus de Lorenzo Pusceddu puis « Cap sur le soleil levant » de Kumiko Tanaka. Pour finir, le quatuor se mêlera à l’harmonie pour interpréter Sémaphore, très belle œuvre de communication musicale.

A ne pas manquer, le Festival des fanfares et orchestres « Avis de grand vent », le week-end de la Pentecôte, du 7 au 10 juin prochain. 13 ensembles seront présents orchestres d’harmonie, brass band, fanfares soit environ 400 musiciens amateurs sur le territoire des Hauts du Perche.

Pratique
Programme dans les Offices de tourisme. Réservations et informations au 06 19 77 98 32.

Neuf infirmières d’un même service de maternité sont actuellement enceintes dans l’Etat du Maine aux Etats-Unis. (©Maine Health)

Erin, Rachel, Brittney, Lonnie, Amanda, Samantha, Nicole, Nicole et Holly. Le Maine Health, un hôpital situé à Portland (Etats-Unis) a actuellement neuf infirmières enceintes ! Le service de la maternité, dans lequel elles travaillent, a rendu public l’information en publiant lundi 25 mars 2019 un cliché où les neuf femmes posent le ventre arrondi.

Une situation assez inédite même si en août 2018 un centre médical de l’Arizona avait lui… 16 infirmières enceintes simultanément !

Dans le Maine, le premier bébé est attendu pour le mois d’avril, l’accouchement du dernier est prévu cet été. 

Lire aussi : TGV Paris-Metz : accouchement dans le train, Ouigo gratuit… la folle histoire du petit Kylian

« Je suppose que j’ai commencé une tendance ! »

« Je suppose que j’ai commencé une tendance ! », a plaisanté Erin Grenier, dans un communiqué publié sur le site de l’hôpital. Les infirmières font preuve d’une grande solidarité et d’une joie collective rare, ont rapporté les médias locaux.

« Cette expérience est incroyable ! Ce qui nous arrive est formidable ! », a témoigné de son côté l’infirmière Amanda Spear. Même son de cloche chez Samantha Giglio :

Je trouve réconfortant de savoir que nous sommes toutes dans le même bateau.

Certaines des infirmières ont déjà des enfants. Pour l’une d’entre elles, il s’agira du même du quatrième. 

Le service de la maternité compte 80 employées au total qui pourront se relayer pendant l’absence des infirmières. 

Après le succès du premier post Facebook, les futures mamans ont prévu une nouvelle photo à l’automne… avec leurs bébés. 

Lire aussi : Aux Etats-Unis, elle donne naissance à six bébés… en seulement neuf minutes

La publication Facebook a été « liké » à plusieurs dizaines de reprises :

Le Lud’o parc pourrait connaître quelques retard à l’allumage de sa saison touristique. (©Le Républicain @ Ch.C. )

Le Lud’o Parc de Nérac (Lot-et-Garonne) doit ouvrir ses portes, logiquement, à la fin de la première semaine de juillet pour sa saison estivale. 

Chantier important

Logiquement car, pour l’heure, la plus grande incertitude plane sur cette ouverture. La raison à un chantier titanesque qui doit être réalisé sur le site. 

En effet, des fuites d’eau ont été décelées sur le site obligeant à une première salve de travaux pour les mettre au jour. 

Une expertise judiciaire a été lancée à la demande d’Albret Communauté contre le concepteur du site aquatique. 

On ne comprenait pas non plus certaines factures d’eau qui atteignaient de grosses sommes », explique Alain Lorenzelli, président d’Albret communauté. 

Les premiers travaux réalisés ont permis de trouver des filtres abaissés et décalés provoquant des fuites. 

L’autorisation a été donnée par l’expert judiciaire pour lancer des travaux. Une somme importante pourrait être déboursée, au total, pour ce chantier : près de 500.000€. 

Toutes les précisions sur ce dossier dans notre édition de demain matin, ici. 

Lire aussi : Lot et Garonne : 300 emplois sont à saisir au Center Parcs près de Casteljaloux

Le chèque va être remis à l’Institut Gustave Roussy (©La Rep 77/JVC)

La belle opération a eu d’importantes retombées financières. Une cérémonie a été organisée, vendredi 22 mars, au Tennis Club de Melun dans le cadre de l’opération Tennis Rose, mise en place par Audrey Merlin, la co-présidente et des joueuses de tennis seine-et-marnaises. Le calendrier dénudé qu’elles ont réalisé pour soulever des fonds contre le cancer a permis de récolter quelque 18 000 €. 

Lire aussi : Seine-et-Marne. Elles posent nues pour un calendrier contre le cancer du sein 

« C’est la fin d’une aventure extraordinaire qui va permettre d’aider la recherche », confie Audrey Merlin qui précise, que tous les calendriers ont été vendus. Touchée par un cancer du sein, elle avait décidé de mettre en place cette opération afin de financer la recherche. « Il faut remercier toutes les personnes qui ont acheté un exemplaire car cette réussite est aussi la leur », poursuit-elle.

Court tennis rose

Pour marquer cette mobilisation, le court de tennis N°3 du club a été renommé Court Tennis Rose. « Une manière de se souvenir de cette mobilisation », souffle Audrey Merlin. Le chèque a été remis hiers à l’institut Gustave-Roussy (Val-de-Marne), un établissement spécialisé.

Un homme habitant Toulouse a été condamné, mercredi 27 mars 2019, pour des propos injurieux sur Twitter. (©Pixabay)

Le 19 juillet 2017, un internaute écrit sur Twitter : « Le mélange des races est une abomination sur le plan de la Création Divine ». Lorsque le tweet est posté, il est accompagné d’une photo d’Omar et Hélène Sy. De quoi faire réagir cette dernière sur le réseau social. 

on peut faire qq chose chez @TwitterFrance contre la race des connards racistes , xenophobes ? car ca pullule ici ! merci d'avance ! https://t.co/zHyXVkIMlz

— Hélène Sy (@HeleneSy) July 19, 2017

Un mois avec sursis

Sauf que l’affaire n’en est pas restée là et a été portée devant les tribunaux par le couple. Mercredi 27 mars 2019, l’homme à l’origine de ces propos haineux a été condamné par le tribunal correctionnel de Toulouse, rapporte La Dépêche du Midi. Alors qu’il se faisait passer pour le directeur de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), l’homme est finalement démasqué. Il habite le Lauragais. 

Devant le tribunal, il tente de nier les faits. Mais ses arguments ne convainquent pas le procureur de la République. Le quadragénaire a été condamné pour diffamation à un mois de prison avec sursis et à verser un total de 2100€ : 800€ pour chaque époux ainsi que 500€ supplémentaires.

Les personnes anciennement privées d’emploi sont devenues des créateurs de richesse sur la commune, tout en apportant des services à la population, ce qui crée de la citoyenneté.

Basée à Colombelles, près de Caen (Calvados), l’Entreprise à but d’emploi (EBE) ATIPIC, créée dans le cadre de l’expérimentation « Zéro chômeur de longue durée », vient d’emménager face à la déchetterie sur la ZAC Lazzaro, dans des locaux plus grands et mieux adaptés à la diversité des activités des différents pôles.

Lire aussi : Portée par des chômeurs, une exploitation de maraîchage bio voit le jour près de Caen

67 salariés en CDI

L’éventail des services proposés s’est beaucoup élargi au fil des embauches puisque l’entreprise compte dorénavant 67 salariés en CDI, tous anciens chômeurs de longue durée.

On y trouve un atelier bois avec des créations en palettes, matière première issue de la recyclerie, un atelier de couture, un atelier de relooking de meubles, un appui à la collecte d’encombrants, des aides au déménagement, du maraîchage dont la boutique ouvrira route de Cabourg dans un mois, des aides administratives, une conciergerie d’entreprise, et d’autres à découvrir.

« La preuve que personne n’est inemployable »

Lors de la porte ouverte préparée par Gwladys Huard, à l’occasion de l’inauguration des nouveaux locaux qui a attiré une foule importante, le maire Marc Pottier s’est félicité de la réussite de ce projet qui au départ pouvait sembler une gageure.

C’est la preuve que personne n’est inemployable ! a-t-il lancé. Et en plus de créer des emplois, l’entreprise ATIPIC rend service à la population, crée de la richesse et crée en même temps de la citoyenneté. Elle véhicule du sens à la fois social, économique et politique. Elle fait rayonner la ville de Colombelles et démontre à la France entière qu’il est possible de lutter efficacement contre le chômage.

Lire aussi : Près de Caen : nette baisse du taux de chômage à Colombelles

Depuis son lancement en 2017, ATIPIC a permis de faire reculer le chômage de plus de 20% à 16%.

Le dispositif est strictement encadré, surveillé et encouragé par une sorte d’union sacrée avec de multiples partenaires, dont l’ARDES (Association Régionale pour le Développement de l’Economie Solidaire) et permet à toutes les personnes colombelloises sans emploi depuis plus d’un an qui le souhaitent de trouver un « vrai » travail en contrat CDI.

Grâce à ATIPIC, et avec un large sourire, les salariés interrogés ont reconnu avoir retrouvé une raison de se lever le matin. Une belle réussite qui redonne de l’espoir dans les actions collectives.

La Première ministre Theresa May s’exprime lors de la séance des questions au parlement à Londres le 27 mars 2019. (©PRU/AFP/HO)

La Première ministre britannique Theresa May a annoncé mercredi 27 mars 2019 qu’elle quitterait ses fonctions si son accord de Brexit était adopté, cédant aux appels de nombreux députés, y compris dans son camp, qui conditionnaient leur soutien au texte à son départ.

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En s’engageant ainsi à démissionner, la dirigeante conservatrice abat sa dernière carte pour tenter de faire adopter son Traité de retrait de l’UE et débloquer la situation au Parlement de Westminster.

Défaites humiliantes

Destiné à mettre en oeuvre en douceur le Brexit et âprement négocié pendant des mois avec Bruxelles, ce texte a déjà été rejeté massivement à deux reprises par la Chambre des Communes. Des défaites humiliantes qui avaient contraint la dirigeante conservatrice à demander à l’UE un report de la date du Brexit, initialement prévu le 29 mars, au 12 avril au plus tôt.

« Il y a le désir d’une nouvelle approche, d’un nouveau leadership » pour la prochaine phase des négociations du Brexit, qui doit déterminer la future relation du Royaume-Uni avec l’UE, a déclaré mercredi Theresa May devant le « comité 1922 », responsable de l’organisation interne des Tories.

« Je n’y ferai pas obstacle », a assuré la dirigeante, selon un communiqué de Downing Street. « Je suis prête à quitter ce poste plus tôt que prévu afin de faire ce qui est bon pour notre pays et notre parti », a-t-elle ajouté, après avoir annoncé, en décembre, qu’elle ne mènerait pas la campagne pour les prochaines législatives en 2022.

« Accomplir notre devoir historique »

Mme May a appelé une nouvelle fois les Tories à « soutenir l’accord afin que nous puissions accomplir notre devoir historique, à savoir respecter la décision du peuple britannique de quitter l’Union européenne », prise lors du référendum du 23 juin 2016.

La pression s’était considérablement accrue ces derniers jours sur Theresa May, dont l’autorité n’a cessé de s’effriter face au défi colossal de mettre en oeuvre le Brexit, un sujet qui divise profondément le pays.

Theresa May « a démontré une fois de plus qu’elle mettait la mise en oeuvre d’un Brexit ordonné avant tout le reste », a applaudi le ministre des Finances Philip Hammond.

Son annonce « prouve que dans ses négociations chaotiques sur le Brexit elle a mis la gestion de son parti avant l’intérêt du public », a tweeté le chef du parti d’opposition travailliste Jeremy Corbyn.

« Bojo » change d’avis

Elle aurait également convaincu Boris Johnson, candidat potentiel à sa succession, de changer d’avis et de soutenir l’accord de retrait, selon un proche de ce champion du Brexit

La déclaration de Theresa May est intervenue peu avant le vote des députés sur huit solutions alternatives à son accord de divorce.

Parmi les options proposées par les élus figurent une sortie sans accord, un renoncement au Brexit ou encore l’organisation d’un référendum sur l’accord de divorce qui sera choisi.

Accord « toxique »

Ces votes indicatifs ne sont toutefois pas contraignants pour le gouvernement et Theresa May a signifié qu’elle s’opposerait au choix des députés s’il venait contredire les engagements de son Parti conservateur en faveur d’une sortie du marché unique et de l’union douanière européenne.

Cette prise de contrôle de l’agenda par le Parlement a conduit certains fervents Brexiters, dont Jacob Rees-Mogg, président de l’European Research Group, un groupe influent de 60 à 85 députés partisans d’un Brexit sans concession, à annoncer qu’ils pourraient désormais soutenir l’accord de Mme May, de crainte que le Brexit n’ait finalement pas lieu.

Mais la partie n’est pas encore gagnée pour la Première ministre: son allié au Parlement, le parti nord-irlandais DUP, a annoncé qu’il n’avait aucune intention de voter pour son accord « toxique ».

Vers une sortie sans accord ?

Les services de la Première ministre ont répété mercredi que cet accord ne serait soumis à un nouveau vote que s’il avait une chance « réaliste » d’être approuvé.

Les députés doivent aussi entériner le report de la date du Brexit, initialement prévu le 29 mars, après l’accord donné la semaine dernière par les dirigeants européens.

Les 27 ont présenté à Mme May une alternative: soit l’accord est adopté et le report sera de courte durée, jusqu’au 22 mai; soit l’accord est rejeté, et Londres aura jusqu’au 12 avril pour présenter une alternative et demander un nouveau report, qui impliquerait la tenue d’élections européennes dans le pays fin mai. Sinon, ce sera une sortie sans accord.

Gagnants et perdants du Brexit. (©AFP/Gal ROMA)

Source : © 2019 AFP 

Le bras de fer se poursuit entre Norman Bruch, représentant principal des forains et Stéphane Le Foll, maire du Mans. (©Les Nouvelles de Sablé)

Au Mans (Sarthe), la journée de ce mercredi 27 mars 2019 a été placée sous le signe de la pêche au canard, barbe à papa ou pommes d’amour. Bref, les forains ont marqué leur présence de façon paisible, place des Jacobins, en attente d’une réponse d’une maire quant à leur proposition d’installation quai Louis Blanc.

La réponse est tombée en soirée. Aucune surprise. 

La proposition du syndicat forain d’organiser une fête foraine industrielle sur le site du Quai Louis Blanc a été faite à la mairie dès le début des négociations. Il ne s’agit donc pas d’une nouvelle proposition », estime Stéphane Le Foll.

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 » La municipalité s’était opposée à cette option et l’avait fait savoir à Monsieur Bruch, Monsieur Gouin et Monsieur Dubois ».

Le maire en explique les raisons :

organiser une telle fête foraine conduirait à fermer le quoi à la circulation ce qui n’est pas envisageable. Par ailleurs, la surface disponible est inadaptée et trop petite pour une telle fête ». S’y ajouterait un investissement de 900 000 euros supplémentaires sans régler le problème de la sécurité publique ». 

Stéphane Le Foll maintient ses deux propositions : « celle d’améliorer le site du panorama et celle d’ajouter une fête foraine supplémentaire lors de la foire du Mans ».   

« Que la pression sur la ville soit levée »

Et « le dialogue se poursuivra sur ces bases à condition que la pression qui s’exerce sur la ville soit levée ».

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Et toujours sans surprise, inacceptable pour les forains qui sont bien décidés à en appeler à Emmanuel Macron.

Norman Bruch, un des principaux représentants des forains, a envoyé un courrier à l’Elysée demandant à être reçu lors de la visite du Président de la République ce jeudi 28 mars 2019 à Angers.

Sinon, on bloque l’aéroport d’Angers », prévient-il.

Pas question pour autant de désarmer au Mans. Il annonce des opérations escargot dans la ville ce jeudi. Peut-être… 

La policière a été hospitalisée tout comme l’automobiliste victime d’un malaise. (©Illustration Actu.fr)

L’accident est survenu à l’heure de la sortie des classes. Mardi 26 mars, une policière municipale a été hospitalisée après avoir été renversée par une voiture à Bruyères-sur-Oise (Val-d’Oise).

Il était 16h45 lorsque la fonctionnaire qui assurait la sécurité des enfants de l’école Paul-Verlaine en les faisant traverser la rue de Boran, a été fauchée par un véhicule. Aucun enfant n’a été blessé.

Sur place, les pompiers ont prodigué les premiers soins à la policière âgée de 47 ans grièvement blessée. Elle a été transportée à l’hôpital en urgence relative.

L’automobiliste de 70 ans victime d’un malaise cardiaque

Les secours ont également pris en charge le conducteur de la voiture, un homme de 70 ans, victime d’un arrêt cardiaque après le choc. Il a été hospitalisé en urgence absolue.

Selon les premiers éléments, ce dernier aurait fait un malaise au volant, grillant un stop avant de percuter la policière.